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Le p'tit bonheur

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Le p'tit bonheur
3 janvier 2011

2011 est la...

Un petit passage pour vous souhaiter

une très bonne année 2011

Et avec l intention de revenir plus souvent sur mon blog... c est normale les premiers jours de l'année nous sommes plein de bonnes intentionssssss


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20 août 2010

Elle et Il ont du mal a dormir


Bon aujourd'hui il fait beau et tout va bien, j'essaie toujours d'attraper cette garce de poule d'eau quia fait son nid au milieu de l’étang ,et même a la nage je n'yPoule_d_eau 

poulet

arrive pas encore.

.. Mais  ça ne saurai tarder. Je m'entraîne un maximum.


Sur Son ordinateur il y a beaucoup de fils noirs ,Elle est pratiquement intenable, Elle pense qu'on va mordre dans tous ses fils, les prenant pour des queues de souris ... elle exagère toujours ...quoique ... enfin ...

Impossible de s’approcher de la table ou Elle a posé ce machin qui ronfle...parce qu'il en fait du bruit, son ordinateur, si elle ne l entend pas moi je l entend et je vous images__4_le dis ça ne ronronne pas car ce n’est quand même pas une machine qui va mieux ronronner que nous les chats...


Tout ça pour vous dire qu’Elle s’amuse bien ... et nous, nous l’observons ... histoire de savoir a quoi sert tel ou tel bouton...on ne sait jamais...


 Bon je retourne me baigner dans l’étang car il commence a faire chaud...


 

Idefix lui fait une petite sieste sous la vigne.  Il faut  dire qu'il a tellement fait la fête cette nuit et surtout il3177_chat_saute fait beaucoup de sport ... Des essais de saut en longueur...Depuis le haut de l’armoire jusque sur le bureau ... Tout ça sans élan, en vol plus ou moins plané au dessus du lit ou Ils dormaient... bon, il y a eu quelques ratés, sur le lit... 707876449176_jpgEnfin, plutot sur Eux...Qui dormaient ... Et après, Ils ne dormaient plus... mais pour mon frère,  c’est le sport...

Il fait vraiment chaud je retourne nager coup de patte presque amical aux chats des environs et a bientôt 

Falbala

17 août 2010

je bavarde, je bavarde...

 

Alors c est bon...?

même baveux...!

un bisou...?

 Y a pas a dire, dans une famille ”soudée”, ça compte et c est agréable de se sentir aimé...

 

Il semblerait que la canicule se soit calmée, c est a dire que nous sommes dans des températures raisonnables pour la saison, 30, 31 degrés prévus, mais les incendies font rage a 50 km de nous il y en un qui a un front de 5km dans des bois non entretenus et sur un sol très très sec.

Lorsque je vois ce qu'il ont du faire pour sauver nos jeunes arbres, je pense que la catastrophe ne doit pas être loin. Plus de fruits régionaux sur le marché, les pastèques sont immangeables, les pêches ont séchées sur les arbres,les tomates aussi et nous n avons pas de salade verte etc, mais moi je m en fiche je n aime que le thon entier en boite, mais pas a l huile ,ça fait grossir, le problème c est qu'ils ouvrent une boite de thon et la mélange a leur salade... pouaaah...repas_chat


Mais il n y a plus de salade... alors ils n ouvrent plus de boite de thon...


 

Comme quoi, même l écologie nous touche aussi, nous  les chats et pas comme nous aurions pu le croire a notre avantage du style "prolongation de nos douces siestes" mais ce peut être bien plus...dramatique... être prive de thon... 1114191074833


Cher Garfield, je me dois d aller surveiller ce qu'Il est entrain de faire, car Il commence a repeindre l'extérieur de la maison, en général il se débrouille bien mais je vais approcher le bout de ma patte près du mur , histoire de vérifier que la couleur me plaît.

Cher Tonton Garfield ayez la gentillesse de faire un énorme bisou baveux et collant a votre humain rose sans poil, comme il a l air de les apprécier... C'est un humain... je sais qu'on s y fait a force de vivre avec ces trucs la ... Je compte sur vous aussi pour d un revers de patte bien applique lui remonter le moral s il le faut.

 

A très bientôt

Patte de velours

Falbala

 

 

 

 

17 août 2010

serge Reggiani

Le titre est "petit Simon"

écoutez ICI

ou là...

Maintenant je vous mets le texte :

Lisez le bien jusqu'a la dernière ligne...


Le temps, petit Simon,
Où tu m'arrivais à la taille
Ça me semble encore tout à l'heure
Mais déjà, tu m'arrives au cœur
Pour toi commence la bataille

Le temps, petit Simon,
Que je te fasse un peu l'école
Me semble venir aujourd'hui
Redonne-moi de cet alcool
Que je te parle de la vie

Tu verras
Les amis ne meurent pas
Les enfants ne vous quittent pas
Les enfants ne vous quittent pas
Les femmes ne s'en vont pas

Tu verras
On rit bien sur la Terre
Malbrough ne s'en va plus en guerre
Il a fait la dernière
Tu verras

Et puis, petit Simon,
Chez nous, personne ne vieillit
Nous sommes là et ne crois pas
Que nous partirons d'aujourd'hui
Pour habiter dans autrefois

L'amour, c'est tous les jours
Qu'on le rencontre dans la vie
Et rien ne passe et rien ne casse
Redonne-moi de l'eau-de-vie
A peine, à peine, voilà, merci

Tu verras
Les amis ne meurent pas
Les enfants ne vous quittent pas
Les femmes ne s'en vont pas

Tu verras
On rit bien sur la terre
Malbrough ne s'en va plus en guerre
Il a fait la dernière
Tu verras

Les femmes infidèles
On les voit dans les aquarelles
Elles vous querellent sous les ombrelles
Dans la vie, ce ne sont pas les mêmes
Elles nous aiment, elles nous aiment

Un homme, petit Simon,
Ce n'est jamais comme un navire
Qu'on abandonne quand il chavire
Et tout le monde quitte le bord
Les femmes et les enfants d'abord

Tu verras
Les maisons ne meurent pas
Les idées ne vous quittent pas
Le cœur ne s'en va pas

Tu verras
Tu va suivre en beauté
Les chemins de la liberté
Tu vivras tu verras
Comme moi

Le temps, petit Simon,
Où tu m'arrivais à la taille
Ça me semble encore tout à l'heure
Mais déjà, tu m'arrives au cœur
Pour toi commence la bataille

Alors, petit garçon,
Moi qui t'aimais, toi qui m'aimais
Souviens-toi que ton père avait
Une sainte horreur du mensonge
Une sainte horreur du mensonge

9 juillet 2010

vieille chanson tzigane

Son titre peut être aussi "baba kocsi"

les paroles en hongrois:


Lassan kocsis, hogy a kocsi ne rázzon,
Hogy a babám gyönge szíve ne fájjon.
Nincs az úton, se patika, se gyógyszer, se orvos
Babám gyógyít, nem a katonaorvos.

Lassan kocsis, hogy a kocsi ne rázzon,
Hogy a babám gyönge szíve ne fájjon.
Nincs az úton, se patika, se gyógyszer, se orvos
Babám gyógyít, nem a katonaorvos.

Beteg vagyok, a szerelem betege.
Két fekete szemmel vagyok megverve.
Két fekete szemmel vagyok megverve, megverve;
Nem gyógyít meg csak a babám szerelme.

Lassan kocsis, hogy a kocsi ne rázzon,
Hogy a babám gyönge szíve ne fájjon.
Nincs az úton, se patika, se gyógyszer, se orvos
Babám gyógyít, nem a katonaorvos

Beteg vagyok, a szerelem betege.
Két fekete szemmel vagyok megverve.
Két fekete szemmel vagyok megverve, megverve;
Nem gyógyít meg csak a babám szerelme.

en français, ça donne ceci a peu près 

Conduis doucement pour que la voiture ne me secoue pas

Afin que le coeur de mon bébé ne souffre point

Car sur le chemin il n'y a ni docteur, ni pharmacien, ni remède

C est mon bébé qui guérit, pas le médecin militaire


 

Conduis doucement pour que la voiture ne me secoue pas

Afin que le coeur de mon bébé ne souffre point

Car sur le chemin il n'y a ni docteur, ni pharmacien, ni remède

C est mon bébé qui guérit, pas le médecin militaire

 

Je suis malade, malade d'amour

Je suis maudite par deux beaux yeux noirs

Par deux beaux yeux noirs je suis maudite maudite

Rien ne peut me guérir,que l amour de mon bébé


Conduis doucement pour que la voiture ne me secoue pas

Afin que le coeur de mon bébé ne souffre point

Car sur le chemin il n'y a ni docteur, ni pharmacien, ni remède

C est mon bébé qui guérit, pas le médecin militaire


 

Je suis malade, malade d'amour

Je suis maudite par deux beaux yeux noirs

Par deux beaux yeux noirs je suis maudite maudite

Rien ne peut me guérir,que l amour de mon bébé


 

Maintenant je vais vous raconter une jolie histoire.

Pour les Tzigane la musique est essentielle.

A tel point que les bébés sont élevés avec un air, une chanson douce suivant les familles cette chanson peut être différente, est ce une légende ou pas ...? on raconte que lorsque la mère a le ventre qui s'arrondis, le père de l enfant vient tout les jours avec son violon, jouer un morceau penché sur son future enfant.Plus tard ou qu il soit dans le monde, quelques soient les circonstances de sa vie, l'adulte qu'il deviendra, en entendant cette musique saura toujours d'ou il vient.

 

J étais a l hôpital, dans cet hôpital au même étage il y a une chambre pour les hommes puis une chambre pour les femmes. quand on n'est pas très en forme , pour passer le temps on écoute , les murs ne sont pas trés épais.... C est ainsi que j ai pu écouter et voir quelque chose de magnifique.

A coté de ma chambre était soigné un vieux tzigane, ( enfin quand je dis vieux, faut pas exagérer, a vue d oeil,il n avait que quelques années de plus que moi ) et ce jour la il était fou d impatience car allait venir lui rendre visite son premier attriere petit fils....

Ce monsieur, bien que malade avait la corpulence d une armoire bretonne a deux portes, c est vous dire qu il n avait rien d un gringalet, et s il était musicien il avait du sans doute travailler très dur pour apprendre a ses grosses mains les subtilités d un violon...

Enfin arrive le grand jour avec toute la famille et le bébé, et la j ai vu ce qu il y a de plus attendrissant.. ce tzigane, immense porter ce bébé tout neuf , le promener dans le couloir de l hôpital et lui faire écouter la version tzigane de baba kocsi  

C est sans doute pour cela que je garde un souvenir spécial attaché a cette chanson

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20 juin 2010

Pour toi Bob, papa

Aujourd'hui, c est la fete des peres, mais tu n es plus la...

Alors rien que pour toi ce texte de Michel Jonas

J't'aimais tellement fort que j't'aime encore

by Michel Jonasz

Tu peux toujours croire que les p'tites cases de la memoire
Peuvent s'ouvrir comme des tiroirs et laisser partir les souv'nirs.
Tu sais, j't'aimais tellement fort que j't'aime encore.
J't'aimais tellement fort que j't'aime encore.

Le bruit des fanfares, les trains qui entrent dans les gares,
Le tam tam des pays noirs pourront pas couvrir c'que j'vais dire.
Tu sais, j't'aimais tellement fort que j't'aime encore.
J't'aimais tellement fort que j't'aime encore.

16 juin 2010

Un document rare

Jacques Brel avec Dario Moreno dans l homme de la Mancha, bien sur le son n est pas extra mais la magie est la...

Juste un petit tour en arrière, bien loin en arrière, pour vous faire voir écouter et comprendre que nos envies, nos chagrins, et nos buts sont toujours les mêmes, qu'importe la génération dont nous sommes, il n'y a que le mode d expression qui change:

Rap,pop, folk ,toutes les musiques, tag, BD, tableaux,sculptures, poésie,roman, l'art sous toutes ses formes expriment au fil des générations le même besoin de la trouver... 

 

Il y a "la quête"

cette merveille, dont le texte est si magique avec un Jacques Brel  la chante ... a nous écarteler ...

11 mars 2010

juste un sourire

Je prends un peu de temps pour vous écrire un joli détail d une vie.

Juste un joli point de détail dans une vie
Ce n est pas grand chose un détail, c'est sans doute encore moins qu'un petit quelque chose.

Ça dure moins que ça encore, mais le cœur reste au chaud pendant bien longtemps et peut être encore plus...

Imaginez, vous êtes très mal, vous suffoquez, votre corps tremble de toutes ses forces, du petit orteil, à la racine des cheveux. Une substance que vous preniez régulièrement pour lutter contre la douleur vous a été supprimée brutalement. Vous savez que vous êtes en manque, comme un alcoolique, un junkie.

Vous avez mal, partout...
Panique à la maison. direction les urgences a l'hôpital, vous marchez mal, la tête tourne, vos mains sont tellement crispées que vous vous en écrasez les doigts... Mais en arrivant aux urgences il faut faire la queue, il faut trier "ceux qui" et "ceux qui pas", c est normal vous le savez... n'empêche que la panique s'installe et votre cœur, vous le sentez, est au bord de l 'explosion...

Quelqu'un ou quelqu'une vous installe sur une chaise pour attendre.

Dans votre panique, les idées les plus sombres s'installent, autour de vous il n y a que des ombres qui s'agitent.
Bien sur, vous pourriez y reconnaître des infirmières ou des médecins qui s affèrent dans tout les sens, mais á ce moment là il n'y a que VOUS qui avez mal, les autres, vous ne vous en voulez pas, la douleur des autres malades ne vous intéresse pas.

Votre corps continue de trembler et personne ne vous regarde, il y a plus urgent que vous.
Les idées noires commencent à prendre de plus en plus de place dans votre tête, vous avez la tête baissée et vos yeux sont accrochés à vos mains crispées et tremblantes qui n acceptent plus le moindre mouvement sans vous faire mal.

Et puis, venant de nulle part apparaît devant vos yeux une main, une autre mais, mais c'est une main spéciale, elle est faite de douceur, vous le sentez rien qu'a la caresse qu'elle pose sur vos mains á vous qui tremblez,et cette main vient se mettre là , au milieu du seul espace que vous avez accepté de regarder, vos mains à vous...

medium_mains_vieillesCette main est non seulement très douce, mais elle raconte toute une vie, chaque ride y est profonde, chaque cicatrice y est encore visible, le temps lui a déposé des taches, les douleurs y sont sculptées par la déformation, mais pour vous elle devient toute douceur.

 

Et puis derrière cette mains arrive un regard, tout ridé,tout délacé mais tellement vivant...cikkek_28667 plein de douceur et de tendresse, et de compassion (tiens je croyais que ce mot-là n existait plus)

 

Et après le regard arrive le sourire...   db_82_610

Les idées noires s'envolent, vos mains se décrispent, le soleil arrive timidement vous n êtes plus "douleur" vous redevenez "humain" et pour montrez que malgré tout vous êtes sensible à cette attention qu'elle a pour vous, vous vous efforcez a prononcer un merci balbutiant,vous relevez la tête, les ombres redeviennent infirmières et docteurs... c est un moment merveilleux, impossible a décrire, et vous la regardez dans les yeux cette vieille femme toute ridée, toute fatiguée et qui vous a tant donné aujourd'hui...

Vos yeux se rencontrent et son sourire s épanouit complètement et elle vous dit

-Vous savez, moi je viens pour un contrôle, pour ma jambe, je me la suis cassée en sortant de chez moi. Et de rajouter,...et puis j 'étais toute seule... 

9 mars 2010

une drole de surprise

J avais un peu de fil qui me restait... et pour m occuper devant la télé, le soir, j'ai pensé faire un "p'tit queuqu chose" pour passer le temps.
Donc je suis partie sur un petit napperon de 30cm de long, tout simple et sans complication...
et le résultat après quelques petites modifications en cours de route....PICT0131 trois plaques de polystyrène ne suffisent pas pour le caler...
Hauteur d une plaque 110cm... je suis loin du petit truc de 30cm de diamètre...
Et me voila repartie chercher une nouvelle plaque pour caler "le petit truc"
Dernier résultat...

PICT0138_1
Donc j arrive tout bêtement a 120cm de diamètre sans m en rendre compte...
Sur la dernière photo, vous pourrez voir le travaille de calage.
Il faut tendre au maximum les fils avec les épingles et ensuite j'humidifie le tout pour que le coton se mette en place.
Si vous avez de jolies nappes de vos grands-mères ou bien simplement pour entretenir ce genre d ouvrage il est intéressant de temps en temps après les avoir lavé, de refaire une petite mise en plis à nos dentelles...

PICT0133_1
À bientôt...

9 mars 2010

pour les copines

Je sais, je me suis un peu endormie ces derniers temps, mais la la faute de l'hiver qui est long.
Mes siestes restent sacrées plus quelques heures supplémentaires d hibernation pour être en forme au printemps et le temps passe plus vite que prévu.
Je vais vous mettre quelques photos pour vous prouver que je ne suis pas restée sans rien faire,enfin pour vous dire que j en ai fait un petit peu... pas beaucoup...? oui... PICT0051
Celui là c était pour une copine pour Noël ( c est vrai, ça fait un moment que je ne suis pas venue papoter avec vous...)
PICT0052
Là, c est pour les détails, un point tout simple pas pénible ... bon d accord les derniers rangs deviennent vite longs mais pas de vraies difficultés.

La seule chose sur laquelle j insiste, c est qu' il faut toujours et absolument caler ce genre d'ouvrage  et au calage ça a donné ceci...PICT0028
Au début, on a l impression d avoir une serpillière a trous et pas bien grande en plus...
Il faut s armer de carton fort ou bien de planche de polystyrène expansé et surtout d un gros paquet d épingles fines...
Il suffit de commencer par tendre le centre, puis on va vers l extérieur, ne pas oublier de se donner des points de repères sur le carton pour tendre droit ce qui doit rester droit et sur un cercle essayez aussi de vous donner des points de repère car on se retrouve vite avec un carré ou autre forme non identifiable...
Avec de la patience on arrive a se surprendre toute seule devant le résultat.

Ps je crois que ma copine aussi a été contente...
Bizzz si tu lis ça...

6 mars 2010

Glenn Gould

parce qu'il est fabuleux comme interprète de Bach et parce qu'il ne suffit pas de l'entendre jouer il faut le voir jouer sur son piano.
Glenn Herbert Gould, plus connu sous le nom de Glenn Gould, né le 25 septembre 1932 à Toronto au Canada4 octobre 1982 à Toronto, était un pianiste, compositeur, écrivain, homme de radio et réalisateurcanadien. Il est surtout connu pour ses interprétations remarquables au piano du répertoire classique, dont les deux fameux enregistrements des et décédé le Variations Goldberg de Bach (1955 et 1981).
source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Glenn_Gould

17 janvier 2010

Le clown chanté par Giani Esposito

Cette chanson m'a accompagnée trés souvent, dans les périodes difficiles, et je l aime toujours autant,surtout interprétée par Esposito... et je voulais la partager avec vous

 

Elle est toujours lá quand il faut...

9 janvier 2010

Musique du film "train de vie" un morceau d anthologie

C'est d'un morceau d'anthologie que je voudrais partager avec vous.

Je vous conseille fermement de voir ce film, il est fait d'humour, de tendresse, d'humanité sans oublier le rêve et l'espoir

Le film s'appelle "Train de vie" et pour vous situer ce morceau de musique: pendant la seconde guerre mondiale, quelque part en Europe, un village de juifs essaie d'échapper aux allemands. Au cours de leur périple, ils rencontrent un train de tziganes qui essaient d'échapper aux allemands.

Ils se retrouvent autour d'un feu de camp et la...

9 janvier 2010

Nicolae Neacşu

 Nicolae Neacşu ("Culai") Faisait partie du groupe Taraf de Haïdouks, il est décédé en 2002

 Taraf de Haïdouks est un ensemble musical de Rom de Roumanie, originaire de Clejani. Il est le plus célèbre groupe du genre dans l'ère post-communiste.

Ils sont connus dans leur pays d'origine sous le nom de Taraful Haiducilor, qui veut dire à peu près bande de brigands, mais taraf est aussi le nom traditionnel des groupes de lăutaris (musiciens tziganes roumains). Haiduc ou haïdouk est un terme turc signifiant bandit, en roumain, ce mot a une connotation vieillotte. Le nom du groupe est connu internationalement sous sa forme francisée sans construction génitive « Taraf de Haïdouks ».

...............

Depuis la parution de son premier album chez Crammed Discs en 1991, et sa participation à Latcho Drom (le fameux film de Tony Gatlif), le Taraf de Haïdouks s’est imposé comme un groupe emblématique, qui symbolise la merveilleuse vitalité de la musique tsigane des Balkans. Le groupe a multiplié les collaborations : concerts avec le Kronos Quartet au Royal Festival Hall de Londres, participation (en tant que mannequins/musiciens) aux défilés du styliste d-image: none;">Yohji Yamamoto, présence dans les bandes-son de films tels que “Terminus Paradis” de Lucian Pintilie ou “Train de vie” de Radu Mihaileanu, et apparition remarquée à l’écran (aux côtés de Johnny Depp et Christina Ricci) dans “The Man Who Cried”, le film de la réalisatrice britannique Sally Potter dont ils signent également une partie de la musique. En 2007, ils participent à la Folle Journée de Nantes, pour illustrer "l'Harmonie des Peuples", thème du célèbre festival cette année-là. Les membres du groupe semblent traverser toute cette agitation en conservant leur sens de l’humour et leur philosophie de la vie. Ils résident toujours dans leur modeste village de Clejani, au cœur de la campagne valaque.

 Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Taraf_de_Haïdouks

 C’est avec leur album Taraf de Haïdouks – Musiques des Tziganes de Roumanie, paru en 1991, que le Taraf de Haïdouks allait se révéler aux yeux et aux oreilles du monde entier – un premierdisque avait déjà été publié par Ocora en 1986, tandis que le public français avait pu entendre une partie du groupe au Théâtre de la Ville, lors d’un concert organisé par Laurent Aubert.

Dès lors, chaque disque serait accompagné d’un concert de louanges internationales.

Du Monde à The Guardian, du New York Times à El País, la presse s’accorderait à saluer la vélocité et la virtuosité de ce groupe de musiciens hors norme, parvenant en un tournemain à faire trébucher tous les préjugés d’une world music aux visions ethnocentriques. Leurs folles cabrioles, leurs belles embardées, leurs formidables délires échappent aux grilles de lecture préfabriquées : certains y entendent des échos de Béla Bartók, d’autres décèlent en eux les accents détonants d’un jazz balkanique, certains iront même jusqu’à les comparer à des rockeurs… En clair, cette musique surgie du fin fond de la Roumanie « médiévale » constituera un défi post-moderne à la sacro-sainte loi des catégories, embrasant d’un même élan les corps et les coeurs des auditeurs littéralement happés par cette frénésie de notes qui, pour ne rien gâter, ne néglige ni la sensualité ni la sentimentalité.

Pour ultimes preuves de son pouvoir d’attraction, leur bande-son sera vite mise à l’honneur par nombre d’artistes, pour leur plus grand bonheur. Le cinéaste Tony Gatlif fut l’un des tout premiers à en bénéficier, les intégrant dès 1993 dans son film Latcho Drom, qui narrait le périple du peuple rom au fil des siècles. Ils seront par la suite convoqués pour The Man Who Cried de Sally Potter, la chorégraphe Pina Bausch les invitera à Wuppertal… Johnny Depp, en solide amateur de musique qu’il est, ira jusqu’à dire que les membres du Taraf de Haïdouks sont « les meilleurs musiciens et les gens les plus extraordinaires » qu’il ait pu rencontrer. « Ces types ont le don de vous rendre encore plus vivants ! » Même des musiciens classiques, à commencer par le rigoureux Yehudi Menuhin et l’aventureux Kronos Quartet, seront fascinés par ces troubadours enracinés dans les campagnes de Valachie. Nul doute, dans leurs doigts, dans leurs voix, ces fêtards assoiffés de triples croches haut perchées ont une telle truculence tellurique, une telle puissance onirique, qu’il suffit de les entendre pour que, d’un coup, s’abatte la cloison illusoire entre savant et populaire, entre tradition et novation.

Justement, c’est au moment de la chute du dictateur Nicolae Ceaucescu que l’épique aventure débuta pour ceux que le journal The Independent qualifiera bientôt de « plus extraordinaire groupe de Tziganes au monde ». Et c’est à Clejani, leur berceau natal, qu’il faut toujours retourner pour comprendre de quoi il s’agit. Dans ce petit village roumain, la musique des lautari, l’ancienne caste des ménétriers, est encore présente à chaque pas de porte.

C’est là que deux chercheurs de sons venus de Belgique, Stéphane Karo et Michel Winter, débarquèrent à l’orée des années 1990. Ni une ni deux, emballés comme un seul homme, ils décidèrent de constituer un groupe avec les meilleurs musiciens tziganes, toutes générations confondues, qu’ils enregistrent dans la foulée. À l’époque, même si le label Ocora s’était déjà intéressé à eux, ces virtuoses vivaient reclus, exclus d’un régime qui les considérait aux mieux comme des paysans attardés, au pire comme de potentiels rebelles.

Voilà sans doute pourquoi, en un clin d’oeil malicieux dont ils ont le secret, ils n’hésiteront pas à emprunter à la littérature locale le nom des anciens brigands au grand coeur et au code d’honneur pour se rebaptiser. Le taraf de Clejani se changea ainsi en taraf de Haïdouks, tels que magnifiés par l’écrivain Panaït Istrati : « Ce sont les hommes-écho : tout résonne en eux ! Ils entendent, la nuit, le cri de la chair humaine mordue par la férocité du plaisir ; le jour, ils sursautent avec tous les corps entaillés par la bestiale peine du travail qu’on n’aime pas. »

Parmi la bonne quinzaine de musiciens qui graviteront dans cet orchestre à géométrie variable, le chanteur et violoniste Nicolae Neacsu va vite devenir la figure emblématique. Coiffé d’un galure élimé, ce vieil homme édenté portera ainsi au plus haut toute la dramaturgie induite par leur musique. À cet égard, la terrible « Balada Conducatorolui », à l’adresse du régime de Ceaucescu, montre un aspect bien moins festif. Du fond de sa gorge, c’est tout un peuple qui exprime son ressentiment doux-amer. Sous le vernis de la ferveur rythmique et de la frénésie mélodique, au-delà des impressionnantes cavalcades de violons et d’accordéons, des entêtantes danses de cymbalums, les chansons de ces Tziganes peuvent aussi lever le voile sur les vexations subies au fil des années, des siècles d’oppression. Les écouter, c’est aussi procéder à un dur retour à la réalité, celle d’une tradition ancrée dans le rude terrain roumain, alors même que les pendules du côté de Bucarest se mettent à l’heure européenne.

Décédé en 2002, le vénérable vétéran Nicolae Neacsu ne saura jamais si cette part plus sombre de leur message a bien été reçue dans les longs couloirs de Bruxelles. Une chose est sûre : en 2008, son savoir-faire demeure vivace, tout comme celui de Dumitru Baicu et Ion Manole, deux autres figures historiques du groupe, eux aussi morts et enterrés. C’est cela la force du caractère unique de cette musique : un renouvellement naturel de générations qui permet de constamment reconfigurer ce patrimoine séculier. Pour les plus jeunes issus de ce riche vivier, comme pour leurs illustres aînés, il n’est d’ailleurs pas question de s’en tenir à des codes immuables et figés dans le temps. La tradition n’est ici entendue que pour être relue, n’est transmise que pour être transgressée, telle une matrice en mouvement permanent, ou plutôt une matière vivante. Les lautari qui forment le Taraf de Haïdouks la vivent au quotidien, lors des fêtes, des noces et de tous les autres événements qui rythment les saisons. De même, ils la font vibrer à toutes les autres musiques qu’ils ont l’heur de croiser, quitte à enrichir le vocabulaire et la grammaire de nouvelles accentuations et ponctuations, sans pour autant en dénaturer le propos intimement lié à leur terroir d’origine. Dans le grand concert mondial actuel, qui peut s’avérer n’être qu’un brouhaha mondialiste sans fondement, c’est là que réside toute la pertinence atemporelle de ces bandits, tout sauf manchots.

Jacques Denis

Source  :http://mediatheque.cite-musique.fr

 

 

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2 janvier 2010

Meilleurs voeux 2010

je voulais vous souhaiter á tous une bonne année 2010.

Les fins de mois seront toujours difficiles pour la majorité d'entre nous, les bobos et les maladies seront toujours lá pour nous caser les pieds mais qu'à cela ne tienne, nous ne nous laisserons pas démoraliser et continuerons de partager nos petits posts de pas grand chose qui prouvent que nous existons toujours.neige01180F

 

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